Voici son prétendu palmarès, en rouge nos commentaires:
Prétendues ascensions solitaires de cet escroc:
- 1986 : les trois faces nord du Cervin, de l'Eiger et des Grandes Jorasses en hivernale, en une semaine.
- Aucune preuve de cela. L'Eiger il raconte l'avoir fait de nuit par mauvais temps, de même pour le Cervin, c'est normal qu'il dise cela car ces parois sont visibles depuis les vallées, contrairement aux Grandes Jorasses. C'est ainsi qu'il explique que personne ne l'a vu faire cela ! C'est une caractéristique des escrocs, tous les psychiatres vous le confirmeront, ils ont toujours réponse à tout et assument tout avec une crane assurance, même les pires bobards, il faut leur reconnaitre ce talent.
- 1986 : première de l'éperon sud-est du K2
- La prétendue voie réalisée par Cesen est juste en face du camp de base, personne ne l'a vu faire cela! Aucune photo non plus, encore du mauvais temps pour expliquer cela. Cesen l'alpiniste fantôme qui ne grimpe que par temps de brouillard ou gros mauvais temps !
- 1987 : seconde ascension de No Siesta (ouverte par Stanislav Gledjura et Jan Porvaznik, du 21 au 23 juillet 1986 1 200 m, 6b/A2, 90º) en face nord des Grandes Jorasses en 14 h 00 du 29 au 30 septembre 1987
- Aucune preuve, aucune photo, personne ne l'a vu depuis les refuges en face (Couvercle, Leschaux)...du pur Cesen!
- 1989 solitaire hivernale de la Gabarrou-Long au Pilier Rouge du Brouillard du mont Blanc
- Cela a fait rire tous les alpinistes, en plus des aucunes preuves, aucunes photos, c'est sans aucune traces ! Cesen est non seulement l'alpiniste qui grimpe de nuit et par mauvais temps pour que personne ne le voit, mais en plus il ne laisse aucune trace de ses passages! Trop drôle cet escroc !
- 1989 : première de la face nord du Jannu (aussi appelé Khumbakharna, 7 710 m) : 2 800 m, 6b/A2, 90º, en 23 heures
- Oui, en 23 heures à roupiller au camp de base, à se marrer, à boire du thé et à écrire ses fameux récits ou il ne manque pas d'imagination, il manque juste de témoins, de preuves et de photos.
- 1990 : première de la face sud du Lhotse, en 64 heures (dont 46 pour l'ascension), alors considérée comme le « dernier grand problème » de l'Himalaya
- Cette fois notre escroc est pris la main dans le sac !
- Il raconte qu'il a pris beaucoup de peine pour faire une photo depuis le sommet, en fait il s'agit d'une photo appartenant à Vicky Groselj et prise des années plus tôt sur un autre versant. Notre escroc l'a faite publier à l'envers sur Vertical en espérant que personne ne s'en apercoive. Sauf que Vicky Groselj, le propriétaire de la photo, s'en aperçoit, il reconnait sa photo même publiée à l'envers ! Ci dessous l'enquête de la justice slovène:
l'enquête de la justice Slovène:
ANNEE 1993
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
Si nous multiplions les messages c'est qu'il s'agit aussi de la plus grosse affaire criminelle de l'histoire de l'alpinisme !
La divulgation de ces fausses informations par Tomo Cesen sur des médias français complices et complaisants a eu des conséquences mortelles. En plus des délits de faux et d'usage de faux, d'escroquerie, de contrefaçons et j'en passe il faut aujouter celui de mise en danger de la vie d'autrui ayant causé la mort d'autrui à plusieurs reprises.
Toutes les personnes qui sont complices de cela doivent être poursuivies pour les mêmes motifs. C'est par exemple le cas de Jean Claude Marmier, Jean Michel Asselin, Pascal Sombardier ou de Messner qui prétendent qu'il existe des preuves irréfutables ! Oui, il existe suffisamment de preuves pour les traduire devant une cour d'assise ! Mais nous sommes en France et cette histoire montre simplement un état de corruption généralisée, même dans des domaines où on ne s’attendait pas à la trouver, l'alpinisme.
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
( lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE.
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
L'usurpation par Cesen des photos de Vicky Groselj !
Il n'existe aucune preuve des ascensions de Tomo Cesen par contre il a menti ouvertement dans le magazine Vertical (éditions glénat) en publiant sous son nom des photos appartenant à Vicky Groselj !
1-Les photos publiés sur Vertical
2-la photo originale de Vicky Groselj réalisée le 30 avril 1989 à 8300m d'altitude au Lhotse, versant Ouest et déjà publiée sur son livre STIRIKRAT OSEM TISOC! On peut voir la supercherie facilement, puisque sur Vertical les photos de Vicky Groselj sont publiées à l'envers avec la mention photos Tomo Cesen.
Si nous multiplions les messages c'est qu'il s'agit aussi de la plus grosse affaire criminelle de l'histoire de l'alpinisme !
La divulgation de ces fausses informations par Tomo Cesen sur des médias français complices et complaisants a eu des conséquences mortelles. En plus des délits de faux et d'usage de faux, d'escroquerie, de contrefaçons et j'en passe il faut aujouter celui de mise en danger de la vie d'autrui ayant causé la mort d'autrui à plusieurs reprises.
Toutes les personnes qui sont complices de cela doivent être poursuivies pour les mêmes motifs. C'est par exemple le cas de Jean Claude Marmier, Jean Michel Asselin, Pascal Sombardier ou de Messner qui prétendent qu'il existe des preuves irréfutables ! Oui, il existe suffisamment de preuves pour les traduire devant une cour d'assise ! Mais nous sommes en France et cette histoire montre simplement un état de corruption généralisée, même dans des domaines où on ne s’attendait pas à la trouver, l'alpinisme.