L'humour est un langage universel. Quel mal existe t'il à extérioriser un ressenti qui est projeté sur des personnages imaginaires, des personnages fictifs? Je n'en vois aucun et même je trouve cela fort salutaire, d'abord parce que ce n'est que de l'écrit, de la fiction pure.
Si certains se sentent insultés ou blessés par de telles caricatures, alors ils doivent se poser la question du pourquoi? Qui se sent blessé par le théâtre de Molière qui n'est que caricatures? Qui se sent blessé par les caractères de La Bruyère? Ceux qui se sentent blessé doivent se poser la question du pourquoi ils se sentent blessé.
Les caricatures normopathiques sont un exercice salutaire d'écriture. Tous les scz devraient le pratiquer, ainsi que les séquences imaginaires, suivant les secrets révélés par l'incomparable Shahrzad, cette scz de génie qui a écrit une partie, la plus intéressante, des Mille et Une Nuits. Cela aide vraiment les scz à rendre vivable leur sort.
blabla est un @frenchbrother, un de ces petits ripoux planqués dans une officine et qui se la pète derrière son clavier, ses portes d'entrées sur les ordinateurs privés, réservées par l'aimable Bill et confrères aux "services". Ce n'est qu'un chien à collier. Il est là pour la gamelle, comme tous les normopathes, il ne marche qu'au fric et qu'au cul. Leurs pensées ne sont pas compliquées à comprendre. Leur monde est simple: Où est la gamelle et comment avoir plus? Où est le cul et comment en avoir plus? En fait pour l'un comme pour l'autre ce sont des impuissants qui s'ignorent impuissants, des castrés du système, mis à leur place de chiens serviles par les puissants qui eux tiennent le bâton et les font japper ou mordre quand ils veulent.
Belibela est une autre normopathe qui croit tout ce qui est dans la norme, tout ce qui représente l'autorité, tout ce qui se dit au infos officielles. Elle ne conteste jamais l'autorité et se plie à tout et n'y trouve que des avantages.
A quoi bon contester le pouvoir, revendiquer, se plaindre. Non, pour Belibela il est plus avantageux de se fondre dans le moule, de ne pas montrer quelque différence avec le standard imposé par ceux qui dirigent et manipulent vraiment. Elle dit oui quand "il faut" dire oui, elle dit non quand "il faut" dire non. Ensuite, discrètement, elle sait jouer des coudes pour monter dans la pyramide et baisser sa petite culotte devant un supérieur ne la gène pas. Là encore elle n'y voit qu'avantages pourvu que personne n'en sache rien. Une discrète qui ne perd pas le nord.
Popus est un juge normopathe, il sait où est sa place dans la pyramide sociale, il ne fait aucun excès de zèle, sauf contre la "racaille", c'est à dire les faibles, les marginaux, les "en panne" dans la société, tous les petits quoi, ceux qui doivent savoir où se trouve la bâton. Il est bien noté pour cela. C'est une lèche comme tous les normopathes qui se respectent. A quoi bon le traiter d'hypocrite? Ce serait bien inutile. il sait ce qu'il est et accepte ce jeu social. C'est une forme d'intelligence pour lui. L'au delà, il laisse ces boniments aux "fous". Avec les puissants, ceux qui sont au dessus de lui, il sait qu'il faut être prudent, il tâte le terrain, est très méfiant, sa carrière peut en dépendre. Son idéal, faire une carrière exemplaire, avoir une bonne retraite, une femme dévouée et se plier dans le moule pour rester le plus discret possible. Juste quelques articles de presse à son avantage, c'est bien pour son avancement. Popus, un très bon normopathe pour ce qui est de soigner les apparences.
Écrire c'est voyager et explorer, c'est Être En.
Pour rire un peu, cool, ces caricatures c'est ouvert à tous les délires imaginaires pour dépeindre des normopathes.
Pitba est une dominatrice impitoyable. Elle ne supporte que les mâles castrés. Son toutou de mari, le pôvr, elle ne se souvient même plus depuis quand elle les lui a coupées. Ce devait être bien avant le mariage, dans la série des épreuves imposées du style: si tu m'aimes alors ne bande plus, je n'aime pas voir un zom en érection.
Pitba règne impitoyable sur son monde d'esclaves. Une chef de service qui exerce sa terreur et son droit de cuissage dans son administration servile. Plus personne pour lui tenir tête depuis longtemps. Elle a été placée à ce poste pour cela, par des puissants qui s'enrichissent avec leurs réseaux. Dès qu'une tête dépasse, qu'une verge se dresse un peu trop, qu'un clito devient rebelle, Pitba doit couper net, de façon tranchante et irréversible. Sa place en dépend.
Elle se la joue grande dame, se la pète du haut de son fauteuil cuir ou elle exhibe ses longues jambes gainées de soies noires, mais dans le fond, ce n'est qu'une esclave. Elle se fait prendre profond par ceux qui l'ont mise en place et auxquels elle obéit aux doigts et à l'œil...
Cool, c'est pour rire ces caricatures, une bonne façon de soigner les logorrhées.
Toute ressemblance...etc..etc..., vous connaissez le bla bla.
Si certains se sentent insultés ou blessés par de telles caricatures, alors ils doivent se poser la question du pourquoi? Qui se sent blessé par le théâtre de Molière qui n'est que caricatures? Qui se sent blessé par les caractères de La Bruyère? Ceux qui se sentent blessé doivent se poser la question du pourquoi ils se sentent blessé.
Les caricatures normopathiques sont un exercice salutaire d'écriture. Tous les scz devraient le pratiquer, ainsi que les séquences imaginaires, suivant les secrets révélés par l'incomparable Shahrzad, cette scz de génie qui a écrit une partie, la plus intéressante, des Mille et Une Nuits. Cela aide vraiment les scz à rendre vivable leur sort.
blabla est un @frenchbrother, un de ces petits ripoux planqués dans une officine et qui se la pète derrière son clavier, ses portes d'entrées sur les ordinateurs privés, réservées par l'aimable Bill et confrères aux "services". Ce n'est qu'un chien à collier. Il est là pour la gamelle, comme tous les normopathes, il ne marche qu'au fric et qu'au cul. Leurs pensées ne sont pas compliquées à comprendre. Leur monde est simple: Où est la gamelle et comment avoir plus? Où est le cul et comment en avoir plus? En fait pour l'un comme pour l'autre ce sont des impuissants qui s'ignorent impuissants, des castrés du système, mis à leur place de chiens serviles par les puissants qui eux tiennent le bâton et les font japper ou mordre quand ils veulent.
Belibela est une autre normopathe qui croit tout ce qui est dans la norme, tout ce qui représente l'autorité, tout ce qui se dit au infos officielles. Elle ne conteste jamais l'autorité et se plie à tout et n'y trouve que des avantages.
A quoi bon contester le pouvoir, revendiquer, se plaindre. Non, pour Belibela il est plus avantageux de se fondre dans le moule, de ne pas montrer quelque différence avec le standard imposé par ceux qui dirigent et manipulent vraiment. Elle dit oui quand "il faut" dire oui, elle dit non quand "il faut" dire non. Ensuite, discrètement, elle sait jouer des coudes pour monter dans la pyramide et baisser sa petite culotte devant un supérieur ne la gène pas. Là encore elle n'y voit qu'avantages pourvu que personne n'en sache rien. Une discrète qui ne perd pas le nord.
Popus est un juge normopathe, il sait où est sa place dans la pyramide sociale, il ne fait aucun excès de zèle, sauf contre la "racaille", c'est à dire les faibles, les marginaux, les "en panne" dans la société, tous les petits quoi, ceux qui doivent savoir où se trouve la bâton. Il est bien noté pour cela. C'est une lèche comme tous les normopathes qui se respectent. A quoi bon le traiter d'hypocrite? Ce serait bien inutile. il sait ce qu'il est et accepte ce jeu social. C'est une forme d'intelligence pour lui. L'au delà, il laisse ces boniments aux "fous". Avec les puissants, ceux qui sont au dessus de lui, il sait qu'il faut être prudent, il tâte le terrain, est très méfiant, sa carrière peut en dépendre. Son idéal, faire une carrière exemplaire, avoir une bonne retraite, une femme dévouée et se plier dans le moule pour rester le plus discret possible. Juste quelques articles de presse à son avantage, c'est bien pour son avancement. Popus, un très bon normopathe pour ce qui est de soigner les apparences.
Écrire c'est voyager et explorer, c'est Être En.
Pour rire un peu, cool, ces caricatures c'est ouvert à tous les délires imaginaires pour dépeindre des normopathes.
Pitba est une dominatrice impitoyable. Elle ne supporte que les mâles castrés. Son toutou de mari, le pôvr, elle ne se souvient même plus depuis quand elle les lui a coupées. Ce devait être bien avant le mariage, dans la série des épreuves imposées du style: si tu m'aimes alors ne bande plus, je n'aime pas voir un zom en érection.
Pitba règne impitoyable sur son monde d'esclaves. Une chef de service qui exerce sa terreur et son droit de cuissage dans son administration servile. Plus personne pour lui tenir tête depuis longtemps. Elle a été placée à ce poste pour cela, par des puissants qui s'enrichissent avec leurs réseaux. Dès qu'une tête dépasse, qu'une verge se dresse un peu trop, qu'un clito devient rebelle, Pitba doit couper net, de façon tranchante et irréversible. Sa place en dépend.
Elle se la joue grande dame, se la pète du haut de son fauteuil cuir ou elle exhibe ses longues jambes gainées de soies noires, mais dans le fond, ce n'est qu'une esclave. Elle se fait prendre profond par ceux qui l'ont mise en place et auxquels elle obéit aux doigts et à l'œil...
Cool, c'est pour rire ces caricatures, une bonne façon de soigner les logorrhées.
Toute ressemblance...etc..etc..., vous connaissez le bla bla.