Il ne se prive pas pour rappeler le coup de poignard dans le dos reçu en 1981. Une habitude chez Chirac qui tient plus du gangster que du sens du combat politique véritable.
l'ancien chef de l'État fait un récit clinique des «mensonges» de Chirac. Il voit en lui un homme animé d'une «faim de pouvoir», «du désir fanatique d'accéder à la présidence de la République». Il dénonce le «caractère clanique» de Chirac qui «n'admet pas que le pouvoir puisse être exercé par d'autres que les membres de son clan».
Giscard a pourtant bien essayé de flinguer Chirac en vain de 1974 à 1981. Allons, la politique est une affaire de tueurs, pas d'enfant de coeur.