"Politique du chiffre, quotas de contraventions, effectifs en baisse" : telles sont les raisons avancées par les policiers qui ont défilé jeudi dans les rues du pays.
Cela pose les conditions d'utilisation de ces "chiens à colliers"que sont les policiers, les juges (pas si indépendants que cela), des procureurs (pas indépendants du tout, c'est le moins que l'on puisse dire).
Allons, les conditions de travail des policiers ne sont pas si difficile que cela, ils ont des avantages. L'inspecteur divisionnaire du commissariat des Houches, 74310, pouvait entretenir sa maitresses dans un emploi fictif pour l'avoir à disposition dans son bureau où elle faisait le "ménage". Est ce si rare que cela? L'administration française est bien celle qui pratique en toute discrétion et impunité de façon massive le droit de cuissage et de promotion canapé. Il faudrait une enquête citoyenne la dessus, totalement indépendante des fonctionnaires et de leurs pressions habituelles. Mais bon, ce n'est pas pour demain.
Et puis la politique du chiffre, c'est la politique du faux et de l'usage du faux. Plus de cinquante pour cent des enquêtes de nos fonctionnaires sont entièrement truquées, manipulées, falsifiées et le pire c'est que la justice se rend complice de ce trafic national en avalisant tous les faux.
Il faut choisir. Être un chien à collier, cela veut dire obéir aux ordres en échange d'une gamelle. La droite manipule une politique sécuritaire qui sert de diversion. Pendant que les médias aux ordres détournent l'attention sur des problèmes de sécurité qui sont totalement exagérés, comme ce fut le cas en 2002 pour la campagne de Chirac, par exemple, les réseaux de "gaullistes, rpr, ump" peuvent faire ce qu'ils veulent, quand ils veulent, où ils veulent en totale impunité. Ce n'est pas nos chiens à collier qui vont faire des enquêtes là dessus, ils tiennent trop à leurs gamelles. La gauche est depuis toujours complice de cela. Ne parlons pas du front national qui connait parfaitement la musique et se tient prêt à récupérer la "machine".
Un bon conseil: si on vous place en garde à vue, ne dites rien, taisez vous! Et même portez plainte à la fin de cette garde à vue. Les chiens à collier se plaignent de ne plus être aimés des français. Ce n'est pas grave, ils sont très appréciés de leurs maitres, ceux qui tiennent le bâton et se servent très bien d'eux.