son discours interventionniste contre l'iran aurait du être la position de la France en 2002 pour calmer les rêves d'ahmadinejad.en 2003, un front uni de l'occident en irak aurait eu du poids dans cette zone. Mais kouchner en 2007 est à coté de la plaque, comme sarco avec ces menaces de bombardements.
il serait temps que ces deux là comprennent enfin qu'Ahmadinejad a plusieurs longueurs d'avance sur eux. Ses discours sur le retour du Mahdi le placent en avance par rapport à 95% des dirigeants de la planète qui n'ont toujours pas compris les changements qui sont en train de s'opérer dans ce monde et qui reprennent des discours complètement surannés que personne n'écoute plus.
Et en occident, personne pour contrecarrer Ahmadinejad qui est d'un modernisme étonnant malgrès les avis stupides de ceux qui sont incapables de voir plus loin que leur lorgnette. Aucune voix en occident pour opposer un discours qui fasse contrepoids à celui du président iranien qui est en train de prendre une sacrée avance.
Avec kouchner et ses vues rétrogrades de pétard mouillé et après la politique fossilisée du brontosaure chirac, la politique étrangère française tourne dans le ridicule.
il serait temps que ces deux là comprennent enfin qu'Ahmadinejad a plusieurs longueurs d'avance sur eux. Ses discours sur le retour du Mahdi le placent en avance par rapport à 95% des dirigeants de la planète qui n'ont toujours pas compris les changements qui sont en train de s'opérer dans ce monde et qui reprennent des discours complètement surannés que personne n'écoute plus.
Et en occident, personne pour contrecarrer Ahmadinejad qui est d'un modernisme étonnant malgrès les avis stupides de ceux qui sont incapables de voir plus loin que leur lorgnette. Aucune voix en occident pour opposer un discours qui fasse contrepoids à celui du président iranien qui est en train de prendre une sacrée avance.
Avec kouchner et ses vues rétrogrades de pétard mouillé et après la politique fossilisée du brontosaure chirac, la politique étrangère française tourne dans le ridicule.