Serge Gousseault en 1971 dans la face nord des Grandes Jorasses. Cet alpiniste a bien été assassiné le lundi 22 février 1971 par le Maire de Chamonix, Maurice herzog qui lui a refusé tout secours et assistance depuis le 18 février 1971, date ou les premiers signaux de détresses ont été effectués par la cordée Desmaison Gousseault en perdition.
Il existe un plateau versant sud des Grandes Jorasses, environ 300m sous le sommet des pointes Walker et Whymper , à l'abri du vent, qui dès le tout début aurait permis de sauver cette cordée en perdition. Un simple coup de fil à Aoste aurait permis d'avoir les autorisations pour ce sauvetage avec un départ de ce plateau qui est du coté italien. Tous les guides savent cela. Et au sommet des Grandes Jorasses, il ne posait pas de problèmes particulier pour descendre versant nord récupérer Serge Gousseault et René Desmaison en grande détresse, à peine 80m en dessous de la pointe Walker. Le sauvetage n'aurait pris que quelques heures et ce dès le 19 février 1971. L'excuse de "trop de vent" de Maurice Herzog est un mensonge éhonté, odieux, monstrueux, et je dis ici, ce qui aurait du être dit par l'ENSA, le PGHM, l'EMHM. Ils ne pouvaient pas ignorer l'existence de ce plateau très sûr, coté italien. Alors comme excuse, ils ont dit que tout allait bien. Lorsque Desmaison faisait les signaux de secours, en fait, pour la pègre chamoniarde, il disait bonjour. C'est le genre d'hypocrisie et de malveillance que l'on retrouve dans toutes les affaires mafieuses à chamonix. C'est leur façon de faire dans l'humour.
Commettre le crime, en direct, devant les caméras de télévision, était une erreur qui à coûté à Herzog l'election, c'est à dire peanuts puisque 6 ans plus tard, il reprenait la mairie via son homme de paille, Michel Charlet, et uniquement parce René Desmaison a trouvé en lui la force de survivre. En cas de décès, Maurice Herzog raflait la mise et c'est sa version de "trop de vent" qui serait restée, personne pour la contester.
Depuis, les techniques se sont bien raffinées. Mais nous sommes bien dans le cadre du crime contre l'humanité pour le simple fait que des moyens d'état sont utilisés pour commettre le crime, à l'initiative d'un petit groupe de personnes qui s'assure un contrôle politique et économique d'un territoire (définition d'une mafia).
Alors voici quelques techniques développées par la suite:
-Michel Claret: interdit de profession de guide.
-Michel Affanasief , accusé d'avoir causé une avalanche mortelle !!! Qui peut prouver une connerie pareille. Moi je dis que c'est un chamois qui a coupé une plaque. La compagnie des guide a suffisamment perdu de guides et de clients dans des avalanches pour savoir que ce procès qui a été fait à Michel afanasieff n'était qu'un lynchage judiciaire d'un grand guide et skieur.
-Fred Vimal, le surdoué, accusé de bagarre par...la police. Ben voyons. Et retrouvé mort au Grand Capucin juste après une condamnation odieuse au TGI de bonneville. encore un lynchage judiciaire au tribunal de grande infamie de Bonneville.
- Vous aviez le refus de porter secours aux Grandes Jorasses, vous avez la saisie du RMI d'une personne handicapée, juste avant la vente de ses biens aux enchères par le célèbre Ballaloud des alpes. Une façon d'essayer d'assassiner de façon plus dissimulée.
Et des cas comme cela, on en trouve des dizaines et des dizaines à chamonix vallée mafieuse . un réseau s'enrichit par le crime en se servant de moyens d'état et avec la complicité des ripoux : gendarmes, policiers, juges, procureurs, contrôleurs du fisc ou de l'urssaf, organic, ... c'est très facile lorsque tout est aux ordres de commettre du crime "légal" . Nous sommes donc bien dans le crime contre l'humanité !
(cf art. 212-11 à 213-5 du Code pénal.)
la liste s'est allongée depuis l'assassinat prémédité de serge gousseault. Lorsque le refus de porter assistance, alors même que le secours est possible depuis le début, tourne à la mauvaise foi, à l'action volontaire pour nuire à autrui, c'est bien d'assassinat qu'il s'agit.
sur lexinter :
CHAPITRE II : Des autres crimes contre l'humanité
Article 212-1
... d'actes inhumains, inspirées par des motifs politiques,..... organisées en exécution d'un plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile sont punies de la réclusion criminelle à perpétuité.
Le refus de porter toute assistance pendant plus d'une semaine constitue bien un acte de barbarie inhumaine dont Maurice Herzog et ses complices (gendarmerie, emhm, ensa, ...) sont coupables. Il s'agit bien d'une exécution car l'issue fatale ne peut faire aucun doute sans secours. C'est bien d'un groupe de la population civile qu'il s'agit: en l'occurrence: les guides indépendants, les alpinismes de renom (hors compagnie des guides), les opposants aux pratiques mafieuses locales.
Article 212-3
... La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les articles 211-1, 212-1 et 212-2 est punie de la réclusion criminelle à perpétuité.
La encore, ce fait est caractérisé. Il existe bien entente et liens de subordinations. C'est montré par le fait que le secours est venu de Grenoble et pas de Chamonix ou le système mafieux local fait que les fonctionnaires ou militaires sont aux ordres, et les civils n'osaient rien dire ou avaient avantage à ne rien dire et rien faire pour s'opposer à ce crime.
sans Alain Frébault , René Desmaison serait mort en 1971!
Pour moi le crime contre l'humanité ne fait aucun doute et vos articles du codes pénal s'appliquent de façon exacte à ce qui se passe en haute savoie mafieuse. En ne procédant par à l'arretation de Mautrice Herzog le 25 février 1971, pour assassinat sur serge gousseault et tentative d'assassinat sur René Desmaison, sauvé in extremis, le et les procureurs de la république depuis 1971 sont tous complices des crimes qui ont suivit. La loi est la même pour tous et elle doit même etre encore plus sévère et stricte pour les personnes ayant autorité, ce qui soit dit en passant était le cas de Maurice Herzog, maire de Chamonix et donc bien responsable des secours en montagne sur sa commune. Si la loi avait été appliquée en 1971, le simple droit pénal, bien des drames qui ont suivit n'auraient pas eu lieu. C'est de plus d'une centaine de victimes qu'il faut parler pour un chiffre d'affaire mafieux d'environ 300 millions d'euros, une estimation au minima.
Dans mon cas, faire saisir un RMI, comme la fait en septembre 2001, la trésorerie de Chamonix, et ce avant des ventes aux enchères de mes biens, estimes à plus de un million d'euros, ventes organisées par Bllaloud Yves et Blanchard Jean, n'est ni plus ni moins qu'une tentative d'assassinat contre une personne handicapée (j'ai la reconnaissance de ce statut par la cotorep) dans le seul but de la spolier. Ce n'est qu'un exemple parmi des centaines. Il suffirait d'une enquète impartiale mennée par un procureur indépendant pour exhummer ce charnier de la Ve république en Haute Savoie.