Je trouve suspect ces accusations contre des pangolins fort jolis par ailleurs et des chauves souris paisibles.
Je trouve encore plus suspect ces assertions sans fondements qui veulent nous faire croire que la pandémie est venue de Wuhan en Chine.
Bon nombre de cas découverts depuis montrent que cela avait commencé bien avant et ailleurs. Alors quand et où?
La région Rhône Alpes Auvergne est la plus contaminée au monde. Pourquoi? Parce que c'est là que tout a commencé début 2019. Et donc c'est là que le virus c'est le plus répandu.
Mutation naturelle ou fabriquée d'un simple coronavirus?
Je pense que la cause de cette pandémie c'est la spoliation d'un schizo à Chamonix par un réseau de ripoux et de bandits affiliés au système politico mafieux ump dans le 74. Ces "fou" ont cru a une bonne affaire facile et se sont servi de moyens d'état lorsqu'ils avaient le pouvoir. C'était oublier que des schizos peuvent avoir de très puissantes protections dans ce qui n'est pas visible pour 99% de la population qui de façon simpliste résument cela par: ce que je ne vois pas n'existe pas.
Nous sommes devant un phénomène décrit dans les plus vieux livres de l'humanité comme l'Iliade, la Bible, la légende de Gilgamesh, ...des bandits normopathes s'en prennent à un prêtre, un schizo, un prophète et des pestes frappent et tuent. Les normopathes pensent à un butin facile et sans défense. En fait ils ne voient pas les protections ou sont dans le déni. Plus l'inertie entre le crime commis par les normopathes, c'est bien de crime qu'il s'agit au vu des conséquences mortelles qui ne pouvaient être ignorées, et la réaction par une peste ou des désastres est grande et plus la force de réaction sera violente.
Dans ce cas Covid 19 l'inertie est supérieure à 30 ans. Il n'existe aucune prescription car la réaction est partie intégrante du crime de départ. En d'autres termes ceux qui ont commis le crime sont aussi ceux qui provoque la réaction violente plus de 30 années plus tard.
Là nous sommes face à une peste Covid 19 et un désastre économique et humain qui va avec.
La preuve ?
Les ripoux et les bandits du 74 feraient mieux de rendre ce qu'ils ont volé, tout remettre en état et payer réparations du préjudice.
"Chante, Ô déesse, la colère d’Achille, le fils de Pélée; détestable colère, qui aux Achéens valut des souffrances sans nombre et jeta en pâture à Hadès tant d’âmes fières de héros, tandis que de ces héros mêmes elle faisait la proie des chiens et de tous les oiseaux du ciel – pour l’achèvement du dessein de Zeus. Pars du jour où une querelle tout d’abord divisa le fils d’Atrée, protecteur de son peuple, et le divin Achille.
Qui des dieux les mit donc aux prises en telle querelle et bataille ? Le fils de Létô et de Zeus. C’est lui qui, courroucé contre le roi, fit par toute l’armée grandir un mal cruel, dont les hommes allaient mourant; cela, parce que le fils d’Atrée avait fait affront à Chrysès, son prêtre. Chrysès était venu aux fines nefs des Achéens, pour racheter sa fille, porteur d’une immense rançon et tenant en main, sur son bâton d’or, les bandelettes de l’archer Apollon ; et il suppliait tous les Achéens, mais surtout les deux fils d’Atrée, bons rangeurs de guerriers:
« Atrides, et vous aussi, Achéens aux bonnes jambières, puissent les dieux, habitants de l’Olympe, vous donner de détruire la ville de Priam, puis de rentrer sans mal dans vos foyers ! Mais, à moi, puissiez-vous aussi rendre ma fille ! et, pour ce, agréez la rançon que voici, par égard pour le fils de Zeus, pour l’archer Apollon. »
Lors tous les Achéens en rumeur d’acquiescer: qu’on ait respect du prêtre ! que l’on agrée la splendide rançon ! Mais cela n’est point du goût d’Agamemnon, le fils d’Atrée. Brutalement il congédie Chrysès, avec rudesse il ordonne :
« Prends garde, vieux, que je ne te rencontre encore près des nefs creuses, soit à y traîner aujourd’hui, ou à y revenir demain. Ton bâton, la parure même du dieu pourraient alors ne te servir de rien. Celle que tu veux, je ne la rendrai pas. La vieillesse l’atteindra auparavant dans mon palais, en Argos, loin de sa patrie, allant et venant devant le métier et, quand je l’y appelle, accourant à mon lit. Va, et plus ne m’irrite, si tu veux partir sans dommage. »
Il dit, et le vieux, à sa voix, prend peur et obéit. Il s’en va en silence, le long de la grève où bruit la mer, et, quand il est seul, instamment le vieillard implore sire Apollon, fils de Létô aux beaux cheveux:
« Entends-moi, dieu à l’arc d’argent, qui protèges Chrysé et Cilla la divine, et sur Ténédos règnes souverain ! Ô Sminthée, si jamais j’ai élevé pour toi un temple qui t’ait plu, si jamais j’ai pour toi brûlé de gras cuisseaux de taureaux et de chèvres, accomplis mon désir : fassent tes traits payer mes pleurs aux Danaens! »
Il dit : Phœbos Apollon entend sa prière, et il descend des cimes de l’Olympe, le cœur en courroux, ayant à l’épaule, avec l’arc, le carquois aux deux bouts bien clos; et les flèches sonnent sur l’épaule du dieu courroucé, au moment où il s’ébranle et s’en va, pareil à la nuit. Il vient se poster à l’écart des nefs, puis lâche son trait. Un son terrible jaillit de l’arc d’argent. Il s’en prend aux mulets d’abord, ainsi qu’aux chiens rapides. Après quoi, c’est sur les hommes qu’il tire et décoche sa flèche aiguë; et les bûchers funèbres, sans relâche, brûlent par centaines."
Qui des dieux les mit donc aux prises en telle querelle et bataille ? Le fils de Létô et de Zeus. C’est lui qui, courroucé contre le roi, fit par toute l’armée grandir un mal cruel, dont les hommes allaient mourant; cela, parce que le fils d’Atrée avait fait affront à Chrysès, son prêtre. Chrysès était venu aux fines nefs des Achéens, pour racheter sa fille, porteur d’une immense rançon et tenant en main, sur son bâton d’or, les bandelettes de l’archer Apollon ; et il suppliait tous les Achéens, mais surtout les deux fils d’Atrée, bons rangeurs de guerriers:
« Atrides, et vous aussi, Achéens aux bonnes jambières, puissent les dieux, habitants de l’Olympe, vous donner de détruire la ville de Priam, puis de rentrer sans mal dans vos foyers ! Mais, à moi, puissiez-vous aussi rendre ma fille ! et, pour ce, agréez la rançon que voici, par égard pour le fils de Zeus, pour l’archer Apollon. »
Lors tous les Achéens en rumeur d’acquiescer: qu’on ait respect du prêtre ! que l’on agrée la splendide rançon ! Mais cela n’est point du goût d’Agamemnon, le fils d’Atrée. Brutalement il congédie Chrysès, avec rudesse il ordonne :
« Prends garde, vieux, que je ne te rencontre encore près des nefs creuses, soit à y traîner aujourd’hui, ou à y revenir demain. Ton bâton, la parure même du dieu pourraient alors ne te servir de rien. Celle que tu veux, je ne la rendrai pas. La vieillesse l’atteindra auparavant dans mon palais, en Argos, loin de sa patrie, allant et venant devant le métier et, quand je l’y appelle, accourant à mon lit. Va, et plus ne m’irrite, si tu veux partir sans dommage. »
Il dit, et le vieux, à sa voix, prend peur et obéit. Il s’en va en silence, le long de la grève où bruit la mer, et, quand il est seul, instamment le vieillard implore sire Apollon, fils de Létô aux beaux cheveux:
« Entends-moi, dieu à l’arc d’argent, qui protèges Chrysé et Cilla la divine, et sur Ténédos règnes souverain ! Ô Sminthée, si jamais j’ai élevé pour toi un temple qui t’ait plu, si jamais j’ai pour toi brûlé de gras cuisseaux de taureaux et de chèvres, accomplis mon désir : fassent tes traits payer mes pleurs aux Danaens! »
Il dit : Phœbos Apollon entend sa prière, et il descend des cimes de l’Olympe, le cœur en courroux, ayant à l’épaule, avec l’arc, le carquois aux deux bouts bien clos; et les flèches sonnent sur l’épaule du dieu courroucé, au moment où il s’ébranle et s’en va, pareil à la nuit. Il vient se poster à l’écart des nefs, puis lâche son trait. Un son terrible jaillit de l’arc d’argent. Il s’en prend aux mulets d’abord, ainsi qu’aux chiens rapides. Après quoi, c’est sur les hommes qu’il tire et décoche sa flèche aiguë; et les bûchers funèbres, sans relâche, brûlent par centaines."