vendredi, septembre 24, 2010

La rousse du Mossad


Un matin, je buvais le café dans mon lit et je fumais la pipe lorsque cette rousse superbe, encore une bombe sexuelle, m'était apparue. Elle portait des lunettes et...j'adore les femmes à lunettes. Elle n'avait pas dit un mot. Elle avait juste ôté sa petite culotte, et elle avait pris son pied, comme si j'étais un simple sex toy. Et l'amour en mode astral, c'est vraiment quelque chose. Elle était repartie comme elle était venue, sans dire même un signe d'adieu. Depuis plus de nouvelles...

Mais Shahrzad a accès à mes mémoires...

Je me trouve dans le salon, très classe, très confortable, d'une superbe villa bourgeoise.

La rousse est là ! Elle lit une revue de mode, allongée sur un canapé tout en cuir, un verre à la main. Toujours ses lunettes. Diable qu'elle est belle !

Elle lève les yeux sur moi, amusée. Ses lèvres sont pulpeuses, légèrement moites, un petit duvet sur la lèvre supérieure.

-Ah, vous m'avez retrouvée ! Vous en avez mis du temps !

Elle a de nouveau enlevé sa culotte et est venue vers moi. Elle m'a plaqué sur son canapé et sans dire un mot, en prenant bien soin de garder ses lunettes, elle a recommencé à se servir de moi comme d'un simple sex toy. En fait, nos mémoires se sont connectées. Elle m'a laissé regarder...

Ensuite, elle m'a offert un verre. J'avais plein de questions à lui poser mais elle a mis son doigt sur ma bouche comme pour me dire:

-une autre fois...nous avons tout le temps...

J'ai compris...Shahrzad fait mon éducation...En quelque sorte la Divinité au Masque Sans Visage, une Chronide majeure, une Titanide dont je ne connais pas le nom, a délégué. Une divinité en charge du temps qui n'a pas le temps...amusant.

Bon la rousse israélienne est 100% compatible sexuellement en mode astral et même plus. C'est fou. Dès que je la vois, je ...comme fernande...

Et chez elle c'est pareil. Dès qu'elle me voit, elle a envie et les préliminaires c'est vraiment pas son truc.

Elle c'est: pénétration, connections mentales, ...

J'adore !


(C) Ivano Ghirardini mars 2010