vendredi, octobre 12, 2007

Les juges cambrioleurs et ripoux du TGI de Bonneville 74 !


En 1995, le guide de haute montagne Ivano Ghirardini change ses plaques et adopte celles de la Ligue savoisienne.
En 1996 il est embastillé pour trois suite à un coup monté des ripoux du 74 qui n'avaient pas réussi à l'éliminer en essayant de l'attirer dans des bagarres provoquées par les flics-marlous de la Diccilec du Commissariat des Houches, 74310. Alors faute de mieux, ils avaient monté le coup des roumains pour faire croire que tout était en règle et pour ensuite revenir sur des accords écrits et des visas de 6 mois à entrées multiples. Bon, pas grave, le meurtre à petit feu n'est qu'une forme d'assassinat mais contre un "indépendantiste", cela ne marche pas. A combien de fois les juges-marlous de chez ripoux de ripoux avaient proposé au guide de poser une bombe face aux injustices de tous les services publics mais surtout mafieux du 74.
"Si vous n'êtes pas content, vous n'avez qu'à poser une bombe!"
Ils se souvenaient sans doute de l'attentat contre le TGI d'Annecy à la bonbonne de gaz par un citoyen fort mécontent des décision de "justice" au service des réseaux criminels du 74. Ah combien cela serait bon pour eux une bonne petite bombe pour les faire mousser en disant que la faute c'est les autres; c'est parce que nous sommes "impartiaux" que nous ne sommes pas aimés. Je crois que si j'avais du faire quelque chose, c'est pas bombe, mais la batte de base ball pour leur éclater la tronche que j'aurai choisie. Mais j'ai su garder mon calme.
En 1996, les ripoux-juges du TGI de Bonneville , à savoir Turc Michel et Guesdon Franck, se font un plaisir de me supprimer la semi liberté au bout d'une semaine seulement. Turc Michel c'est le ripoux qui a prononcé ma liquidation en 1995 et qui en 1987 m'avait convoqué sans avocat mais ou l'avocat de la partie adverse, le très célèbre Ballaloud des Alpes en charge de la partie adverse était là et avait plaidé contre moi. Cela en dit long sur les magouilles de ce Président du Tribunal de Grande Instance.
Après cela, comme par hasard, je me fais voler ma voiture , la Renault 19 que vous avez sur la photo et qui n'a bien évidement jamais été retrouvée. Les gendarmes avaient déjà rechigné pour la plainte. Voler un "indépendantiste" c'était pas un vol pour eux, mais une action bienfaisante. De là à penser qu'eux, ou les flics, ou les juges sont dans le coup, on ne serait pas loin de la vérité.
Puis, j'ai eu droit à un cambriolage en règle de ma maison au 126 route de la Frasse et au cambriolage de l'atelier des trabets avec des dégâts importants. Là encore de grosses difficultés pour déposer plainte. D'après les gendarmes de Chamonix avec leur humour noir célèbre, c'était des "gamins" qui voulaient jouer et faire une blague. Pauvres petits va, j'aurais peut-être du leur offrir des malabars à ma sortie de prison.
Les deux juges mafieux Turk Michel et Guesdon Franck vont profiter de mon séjour en prison jusqu'au 4 juillet 1996 pour prendre deux décisions de justice dans mon dos, sans avocat pour me défendre ni même me représenter, sans même me convoquer aux audiences les 29 mai 1996 et le 19 juin 1996, sans même me prévenir, en totale et complète violation de tous les droits de l'homme, des citoyens et de la défense. Mais avec le Ballaloud yves, ces violations étaient monnaies courantes et le sont toujours depuis, rien n'a changé dans le 74.
29 mai 1996, 19 juin 1996, 10 juillet 1996, la justice française et les avocats de Bonneville se couvrent d'infamie !!!
Ensuite, toujours en prison, j'ai eu droit à un essai de vente aux enchères publiques de ma maison. mais comme je suis le meilleur médium télépathe de la planète, j'avais aucun mal à suivre leurs agissements depuis ma cellule. J'ai pu faire annuler cela en prenant les devants et faire retirer les affiches de mise en vente.
Je suis sorti de prison le 4 juillet, à pied donc et dès le 6 juillet j'ai reçu une lettre AR des ripoux juges de Bonneville qui me convoquaient pour une audience devant le TGI de Bonneville le 10 juillet 1996 !!! Je n'avais qu'au maximum 4 jours pour m'y préparer et je n'avais reçu aucune pièces, ni même l'objet de la convocation. Un cas flagrant de violation des articles de base 1 à 13 de la convention européenne des droits de l'homme qui prévoient que tout citoyen doit disposer des moyens et des délais nécessaires à sa défense. J'ai aussitôt porté plainte contre les ripoux juges, mais comme c'est eux qui "tenaient" le tribunal et comme le réseaux mafieux est tout puissant, le procureur de Bonneville a fait une fois de plus la carpette. carrière oblige.
Le 10 juillet 1996, les ripoux juges, Monsieur Turc Michel, président du TGI en tête, drapés du noir de leurs magouilles, prononcèrent une faillite personnelle à mon encontre et extension de la liquidation de mon entreprise sur mes biens propres comme gérant. Toujours le meurtre à petit feu. Histoire de faire passer le message en Haute savoie:
"Nous plantons qui nous voulons, quand nous voulons et la loi nous nous en torchons le cul. La loi c'est nous et la loi c'est les désirs des réseaux mafieux. C'est clair, non ?"
Ne me dites plus après cette histoire sur quelques mois de l'année 1996 que la France puisse être le pays des droits de l'homme. Le pays des magouilles dissimulées, avec usage de moyens d'état, cela oui, assurément. A cela il faut ajouter le crime économique. Plus d'un million d'entreprises liquidées de façon abusive pour enrichir des réseaux et des ripoux. Quel sacré bilan !